Et dans la nuit elles se réveillent,
Peurs irrationnelles, irraisonnées, irraisonnables,
Abandon, perte, solitude, mensonge
Haine qui grandit, se nourrissant chaque jour du plus profond de mon être,
Oh oui, je me hais, je me hais
Mais comment pourrais tu le savoir ?
Mais comment pourrais tu le voir ?
Je hais tout ce que je suis,
J'exècre mon être du plus profond de mes chaires,
Peine grandissante et dominante,
Plantant le drapeau de sa désolation de plus en plus profond dans mon coeur.
Jour après jour, ce brasier infernal brulent en mon sein,
Me tenant au chaud de son étreinte inavouable,
Me transformant en un être que je ne suis pas,
Sur le qui vive, toujours prête a blesser la première,
Je deviens détestable,
Rare chose que je sache faire justement à merveille,
Me détester jusqu'à me haïr,
Oh que c'est bon,
Cette brûlure qui me consume peu à peu,
Oh que c'est bon,
De se sentir dissoudre de sa propre souffrance,
Oh que c'est bon.
Dans la nuit, elles se réveillent, Peurs, Haine, Tristesse,
Dans la nuit, elles m'entrainent,
Dans la nuit, elles m'enchainent.
Et c'est la, dans cette nuit sans nom, noire comme mes humeurs que se meure tout ce qu'il reste de l'espoir,
Désespoir,
Meure espoir, meure meure, meure,
Oh que je me hais.
Et c'est la, dans cette nuit criminelle, larmoyante et douloureuse que le mal se fit...
Peurs irrationnelles, irraisonnées, irraisonnables,
Abandon, perte, solitude, mensonge
Haine qui grandit, se nourrissant chaque jour du plus profond de mon être,
Oh oui, je me hais, je me hais
Mais comment pourrais tu le savoir ?
Mais comment pourrais tu le voir ?
Je hais tout ce que je suis,
J'exècre mon être du plus profond de mes chaires,
Peine grandissante et dominante,
Plantant le drapeau de sa désolation de plus en plus profond dans mon coeur.
Jour après jour, ce brasier infernal brulent en mon sein,
Me tenant au chaud de son étreinte inavouable,
Me transformant en un être que je ne suis pas,
Sur le qui vive, toujours prête a blesser la première,
Je deviens détestable,
Rare chose que je sache faire justement à merveille,
Me détester jusqu'à me haïr,
Oh que c'est bon,
Cette brûlure qui me consume peu à peu,
Oh que c'est bon,
De se sentir dissoudre de sa propre souffrance,
Oh que c'est bon.
Dans la nuit, elles se réveillent, Peurs, Haine, Tristesse,
Dans la nuit, elles m'entrainent,
Dans la nuit, elles m'enchainent.
Et c'est la, dans cette nuit sans nom, noire comme mes humeurs que se meure tout ce qu'il reste de l'espoir,
Désespoir,
Meure espoir, meure meure, meure,
Oh que je me hais.
Et c'est la, dans cette nuit criminelle, larmoyante et douloureuse que le mal se fit...